[1] Il ne le fera qu’une quinzaine d’années plus tard, et seulement pour une courte période.
[2] Le nom de madame Devillard a disparu de l’organigramme des responsables de l’union en octobre 1986, tel qu’on peut le constater en page 2 de couverture de NAEN n° 32. Puis, en avril 1987, dans le n° 34 de NAEN, le CGHY a disparu définitivement de la liste des cercles bourguignons en page 2 de couverture, pour être remplacé au même endroit par la SGY.
[3] Dès 1981, et ce qu’en 1990, toutes les publications de la SGY ont été fabriquées à Muizon dans la Marne, dans la petite imprimerie de William Théry, ami d’Alain Noël.
[4] Nouveau nom de la Fédération des sociétés françaises de généalogie, d'héraldique et de sigillographie.
[5] Lors d’un conseil d’administration tenu le 7 décembre 1991.
[6] Jusque lors, il n’y avait qu’un seul vice-président : d’abord Etienne Meunier, qui a donné sa démission le 15 novembre 1986, puis Alain Biscaye, qui n’a pas été intégré dans la nouvelle équipe mise en place par Gilles Poissonnier.
[7] Il a succédé à Pierre-Henri Chaix. Après lui seront élus comme présidents de l’UGB Michel Violot puis Patrick Notel, ce dernier étant par ailleurs le membre n° 136 de la SGY.
[8] Sous la présidence suivante, les cercles de la Nièvre puis de l’Ain ont quitté l’Union, l’un pour rejoindre, au sein de la Fédération, un collège composite de cercles non territoriaux et l’autre pour s’affilier, fort logiquement, à l’union généalogique de la région Rhône-Alpes.